Nom : Grünwald
Prénom : Edwin
Surnom : Ed, Dydy, Sex-Sybol (si si... x3)
Age : 19 ans
Date de naissance : 16 avril 1994
Lieu de naissance : Hamburg
Groupe : Musicien
Option : Musique & Chimie
Métier : Guitariste
Pouvoir : Senso-Kinésie
Description du pouvoir : C'est un principe qui fonctionne un peu comme l'hypnose. Lorsque Edwin parvient à capter votre attention il vous donne l'impression de perdre l'un de vos 5 sens plongeant parfois certaines victimes dans la panique totale pendant un temps variable mais jamais supérieur à 24 heures.

Edwin a une personnalité plutôt compliquée à cerner.
Il a l’air manipulateur, calculateur, arrogant et diaboliquement séduisant – il faut se l’avouer- et peu de chose paraissent l’intéresser. En effet, ce qui ne le concerne pas n’aura apparemment pas de raison de mériter son attention. La seule chose qui semble pouvoir le préoccuper est sa petite personne, il ne trouverait aucun problème à manipuler ses semblables, principalement féminine. Lui résister est certainement le meilleur moyen de l’occuper à condition que vous en valiez la chandelle. Profitez cependant de l’intérêt bien éphémère qu’il vous portera car vous pouvez compter sur lui pour vous faire flancher rapidement, peut-être trop rapidement pour qu’il n’ait eu le temps de s’attacher à vous ne serait-ce qu’un peu !

Pourtant, malgré les apparences, Edwin n’est pas un mauvais bougre. Il n'est pas non plus le stéréotype du séducteur incarné même si il aime croire que les autres l’imaginent ainsi. On peut dire sans en douter que oui, Edwin à un cœur. Cœur qu'il protège grâce à cette carapace de gros méchant afin de ne plus souffrir comme il a souffert. Et les scoops ne s’arrêtent pas là. Le jeune homme possède quelques qualités ! Citons en exemple sa loyauté, son courage, et son attitude calme voir stoïque en cas de situation légèrement énervantes. Il est plus intelligents et plus compréhensif et gentil qu’il ne voudrait bien le faire croire mais peu de gens ont la prétention d’avoir percé la forteresse qu’il a érigé autours de sa vrai personnalité.

Edwin n'est pas énormément bronzé et il possède un teint légèrement plus clair que le moyenne. La couleur de ses yeux maintenant, ils sont teintés d'un magnifique bleu qui en fait craquer plus d'une. Je suis prêt à parier que jamais auparavant vous n'avez vu des yeux aussi envoûtants... Oh, ne vous évanouissez pas tous de suite, nous n'en sommes qu'au début ! Il n'est pas excessivement grand mais il n'est pas petit non plus. Ses cheveux sont blonds comme les blés et plutôt longs sans en arriver à l’extrême non plus. Ce n’est pas une femme quand même ! C’est un homme, un vrai ! Avec tout ce qu’il faut où il faut et dans de bonnes proportions. Un physique de rêve, musclé comme il le faut et qui ferait saliver d'envie tous les dieux... Une fille normalement composée ne pourrait résister à l’appel sensuel que semble émettre son corps. Mais les prédateurs les plus dangereux sont fait pour nous séduire n'est-ce pas ? Ceci est une mise en garde...

Pour ce qui est du style vestimentaire, Edwin est plutôt du genre rock. Néanmoins, sa flemme naturelle le poussera à souvent se vêtir d’un simple jeans et d’un t-shirt ou d’une chemise qu’il laissera ouverte dévoilant ainsi les multiples tatouages sur son torse, ses épaules et sur ses bras. Mais ce n’est pas pour vous déplaire n’est-ce pas ?

Attention à vous mesdemoiselles. Edwin en fera mourir d'envie plus d'une. Dans les deux sens du termes bien sûr !

Je n’étais pas un enfant désiré. Pour tout avouer, lorsque ma mère tomba enceinte de son prof de math, elle comprit que l’enfant que j’étais n’allait lui causer qu’ennuis sur ennuis. Elle reporta la colère qu’elle se portait sur moi après tout, elle n’avait que dix-huit ans. C’était une gamine victime de sa naïveté et des histoires à l’eau de rose qu’elle lisait… Elle tenta mainte fois de mettre fin à mes jours sans écourter son existence. Mais quelque chose me protégeait. J’étais plus fort, plus résistant. Comme un parasite. J’avais adopté le mode de fonctionnement de la créature qu’elle voyait en moi : un virus. J’avais néanmoins réalisé l’un de ses rêves. Son professeur chéri avait été contraint de l’épouser afin que l’honneur de sa famille ne soit pas mis en péril. Cepenant, lorsque je vis le jour, elle ne montra pas le moindre amour, le moindre regret. Elle était stoïque et froide. Elle ne s’occupait jamais de moi, la chair de sa chair. Je n’étais qu’une poupée qu’elle laissait pleurer dans un berceau au plus grand regret de mon sa mère qui ne comprenait pas comment elle pouvait être si cruel. Mon père, quand à lui, ne resta pas assez longtemps pour s’en rendre compte. Le comportement exécrable de sa femme l’avait tant insupporté que le divorce fut rapidement prononcé et mon père déménagea dans à Berlin.


Mon enfance, comme vous vous en doutez, ne fut pas des plus heureuses. Je me faisais battre quotidiennement par cette erreur de la nature que représente ma mère à mes yeux. Toute ces heures que je passais enfermé dans un placard mourant presque de faim lorsqu’elle invitait ses amis… Mais il était là, elle. Celle à qui je vouais alors un culte : mon père. Lui qui m’a mis sous son aile moi l’enfant rejeté par celle qui avait honte d’avoir mis au monde un « monstre ». Lui qui m’avait vu grandir, lui qui m’avait vu souffrir et qui avait tenté de me protéger. Il m’a fait le bonheur de me faire connaitre ce qu’était l’amour. Il était mon seul bonheur, mon seul moment de paix. Il m’a aidé à grandir comme il le pouvait. Il était là quand j’en avais besoin et cela contribuait à mon bonheur. Mais le bonheur n’est pas fait pour certaines personnes n’est-ce pas ? Peut-être est-ce à cause de cela que mon père décéda peu de temps après mon dixième anniversaire. Dès ce moment là, je me remis à contenir la peur que j’éprouvais pour elle dans le fond de mon cœur. Celle-ci se métamorphosa et colère puis finalement en haine. Mais un jour, après une longue séance de torture mené par mon pire bourreau, je sentis que quelque chose avait changé. Je ne pouvais plus endurer ça et à partir de ce jour, un plan commença à germer dans ma tête.

C’était le jour de mes 16 ans. Comme chaque année à cette date, ma mère allait boire pour oublier. C’était idéal, j’avais tout préparé, il me suffisait de m’enfuir, ce que je m’empressais de faire alors. J’avais alors débuté un voyage pour retrouver mon père. Pourquoi diable l’Allemagne devait-elle être si grande ?! Ce n’est qu’une fois celui-ci retrouvé que ma vie pu commencer réellement. J’avais des amis, des conquêtes, je faisais la fête et ma mère ne me cherchait pas.

Mais à mes 17 ans, lorsque mon don se manifesta à moi en pleine fête bien arrosée, je pris peur. Comment pourrais-je annoncer à mon père que j’étais effectivement un monstre comme ma mère le pensait ? Je lui avais alors proposé de me changer d’école pour une école plus importante qui pourrait certainement m’ouvrir plus de portes et l’homme sérieux qu’il était accepta m’envoyant alors à l’académie Hotona sans savoir mon plus grand secret.

Surnom : Ichi-Sempai
Niveau RP : Potable enfin avec mon estime de moi-même !
Où avez-vous connu le forum ? Grâce à un poto
Qu'en pensez-vous ? Il a l'air cool !!!!!!!!

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