Dossier scolaire d' Asaret
❝ Je m'appelle James... James Bond.
Nom : Ferrago-Bastogne
Prénom : Asaret
Surnom : Aucun
Age : 16 ans
Date de naissance : 13/07
Lieu de naissance :New York - Amérique.
Groupe : Normal.
Option : Art appliqué
Métier : Assistante vétérinaire : elle reste à l'arrière de la boutique, à soigner les animaux et ne voit donc jamais les clients.
Pouvoir : Reine des animaux.
Description du pouvoir : Asaret impose sa volonté aux animaux sauvages. Elle en est la reine. Attention, les créatures sous l'emprise d'autres joueurs ne font pas partis de son champs d'action. Ils sont considérés comme apprivoisés. Elle arrive quand même à parler avec eux, mais cela ne change rien au fait que leurs souverain ne soit pas elle.
« L'homme est le seul animal qui rougisse. C'est d'ailleurs le seul animal qui ait à rougir de quelque chose. »
De nature, Asaret est calme. Beaucoup trop pour être normale. Bon, bien sur, vu sa tenue, c'est évident qu'elle ne l'est pas, mais quand même. C'est comme si vivre ici l’indifférait, comme si ce n'était qu'une épreuve à passer avant de pouvoir s'envoler. Paisible, il semblerait que rien ne puisse l'étonner. Oui, la jeune femme n'est pas des plus abordables. Son désintérêt pour les autres ce fait cruellement ressentir quand elle prend soin de ne pas répondre à une question posée. Détournant simplement la tête.
Ce qu'elle aime ? Les animaux bien sur. Il n'y a pas à tortiller, c'est sa seule, et principale passion. Quand elle n'est pas à s'occuper d'eux et bien … c'est qu'elle à les mains occupées autre part. À part ça, parce que bon, c'est sympa mais on ne peux pas vivre que d'herbe et d'eau fraîche, Asaret aime le chocolat. Elle en raffole, et serait prête à en engloutir des quantités industrielles. Par contre, la viande, c'est une autre histoire. Par principe, elle n'en mange pas. Le lait ou les œufs non plus, elle n'y touche pas. Pour compenser, elle prend des vitamines. Tomber en carence alimentaire c'est un peu bof, non ?
« L’homme est un animal domestique, c’est pourquoi il est à ce point corrompu. »
Habillée traditionnellement, Asaret ressemble à un chef apache. Et bien qu'elle soit une femme, ses tenues bardées de plumes, de perles et d’attributs tous aussi divers et variés auront légèrement tendance à la faire passer pour un homme. Loin de lui déplaire, elle semble s'en ficher éperdument. Ce qui compte pour elle, ce sont les animaux. Ses sujets. Faire partit des humains ne l'enchante guère, elle préfère rester avec ceux qui ont vraiment besoin de sa présence. Constamment accompagnée, Asaret aime rester avec ses quatre conseillers, des animaux à la taille disproportionnée. Un lion, une taupe albinos, une tortue marine et un faucon.
Pas très grande, pas bien lourde, la jeune femme est presque ridicule. Une tenue pareille, ici ? Faut vraiment être déjanté. Complètement taré. Non, mais franchement, elle en impose pas beaucoup. Ce qui en jette par contre, c'est ses animaux de compagnie, qui sont toujours la pour l'aider. Et ouais. Asaret ne marche pas. Simple caprice ou véritable handicap ? Nul ne sait. Nul ne le saura jamais. Le fait est qu'elle reste constamment en compagnie de ses sujets, qui l'aident dans la vie de tous les jours. Tecniquement, elle se déplace en fauteuil roulant, mais n'hésite pas à leurs demander de l'aide dès que l'occasion s'en fait sentir. A vrai dire, ceux ci ne la quitent que très rarement. Pour ainsi dire jamais. Dehors ou dedans, il y en a toujours un pour s'assurer de sa sécurité.
Elle ne parle pas non plus, mais n'est pas pour autant muette. Ses cordes vocales sont justes différentes des nôtres, quand elle ouvre la bouche, un bruit à mi chemin entre le ronronnement et le sifflement se fait entendre. Seul les animaux arrivent à déchiffrer. Par ailleurs, une question mérite de se poser dans cette histoire. Asaret est la reine des animaux sauvages. Mais en les gardant près d'elle, ne serait t'elle pas en train de les domestiquer ? Hors, elle ne peux imposer sa volonté à ceux déjà dréssés. On appelle ça un paradoxe, non ?
« L’homme est l’unique animal qui peut rester en bons termes avec ses victimes jusqu’à ce qu’il les dévore. »
Au premier, abord, on pourrait la croire sortie de la savane. Élevée par des animaux sauvages, n'ayant jamais connu l'amour de parents aimants. Une vraie sauvage quoi. Mais c'est faux. Asaret est née en Amérique, et ses parents, ils l'aimaient, mais vraiment beaucoup beaucoup. Quand ils se sont aperçus qu'elle ne parlait pas, ils ont tous fait pour la ménager. Ils voulaient qu'elle est une scolarité normale, mais dans ce genre de cas, c'est impossible. La petite fille allait donc chez un percepteur. Dans une classe composée d'une minorité d'élèves, dont les parents, dans le même cas que les siens, ne voulaient pas terroriser leurs enfants avec des moqueries inutiles. Elle évolua.
Vers l'age de dix ans, on s'étonna que les chiens de garde de la famille Ferrago-Bastogne, réputés pour être issus de lignées agressives, la suive à la trace. La protège de tous le monde, y comprit de ses parents. On euthanasia les animaux, sans tenir compte des cris et des hurlement de la petite.
Plusieurs incidents du même genre se reproduirent les années qui suivirent. On envoya Asaret vers des spécialistes. Mais jamais aucuns ne purent trouver ce qui clochait chez elle. Et plus le temps passait, plus elle s'éloignait de la civilisation. C'était un rejet. Voir des spécialistes après les cours, jours après jours, elle ne le supportait plus. Être traitée comme une patiente, et non plus comme une humaine, elle saturait. Mais plus elle s'éloignait d'eux, plus ses parents s'accrochaient. Un cercle vicieux, qui conduisit leurs fille sur le plus noir des chemins.
Un beau jour, alors qu'ils étaient en vacances, la petite fille se jeta sur la voie publique. Son père venait d’émettre l'hypothèse que les médecins étaient encore ouvert à cette époque de l'année. Manque de chance, le feu du passage piéton n'était pas vert. Asaret ne reposa plus jamais le pied par terre. Ses parents perdirent alors le peu d'attention qu'elle leurs accordait. On arrêta de lui faire voir des médecins.
Attristés, perdus, ils trouvèrent, bien trop tard malheureusement, quelqu'un qui leurs indiqua l’académie Hotona. Il définit sans tergiverser qu'elle possédait un don. Et qu'il fallait qu'ils la laisse partir. Qu'ils la laissent en compagnie de ceux qui pourraient, peut être, la comprendre. La faire sortir de ce monde de silence.
« Dès que nous naissons, nous pleurons d’être venus sur ce grand théâtre de fous. »
Surnom : Pépite
Niveau RP : La mes cocos, c'est à vous de me juger x')
Où avez-vous connu le forum ? En cherchant voyons !
Qu'en pensez-vous ? j'aime bien
Autre : j'ai conscience que le pouvoir engendré par ce personnage est énorme, aussi, j'ai considérablement diminué sa condition physique, de façon à ce qu'elle soit, plus ou moins au niveau des autres élèves. J'espère que ça ira ><.
Code du règlement : Kari' valide !